Forum des élèves de Polyphonies, école à distance d'écriture musicale et de composition.
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Bonjour !
J'ai appris une nouvelle règle en lisant le corrigé de ma série 11b d'exercices de mélodie. Je la partage avec vous ici :
Et j'ai modifié en conséquence mon "algorithme pour la recherche du grand rythme d'une mélodie" :
J'espère que ce sera correct et que ça aidera les prochains étudiants qui aborderont le cours 16 !
À bientôt !
(J'ai préféré ce forum à celui "à propos des cours" pour deux raisons :
- L'étudiant qui découvre une nouvelle leçon de mélodie va logiquement dans le forum "mélodie" et cherche les topics correspondant à son cours.
- Jean-Luc pourra me corriger vite si j'ai écrit une bêtise)
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Merci pour ce plan de travail. Je pense qu'il aidera bien les étudiants de Polyphonies
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Bonjour
Décidément, j’ai encore bien du mal avec le cours 16
Quand il y a plusieurs notes ponctuantes à la suite, j’ai noté, suite à la correction de mes exercices, qu’il fallait mettre une thésis sur la dernière.
Seulement, en réétudiant le cours, je vois qu’il y a des cas où l’on ne met pas la thésis sur la dernière note qui dure une pulsation ou plus, notamment lorsque celle-ci démarre un mouvement ascendant, comme dans cet exemple :
Comment puis-je distinguer les cas où l’on met une thésis sur la dernière des notes durant au moins une pulsation, et les cas où l’on met la thésis sur une autre que la dernière ? Finalement, mon « algorithme » ne convient pas.
Merci !
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En effet, il n'est pas simple de faire de l'analyse musicale une science exacte.
Peut-être en plaçant le 3) de l’algorithme avant le 2) ?
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On va demander à Jean-Luc s'il valide cette idée :-)
D'où la nécessité de savoir repérer quand démarre un mouvement ascendant ou descendant !
Un tel mouvement peut démarrer en cours de pulsation, alors qu'une arsis ou une thésis doit englober une pulsation.
Mon Dieu que c'est compliqué !!
Encore bon week-end et merci, Didier !
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charmuzelle a écrit:
D'où la nécessité de savoir repérer quand démarre un mouvement ascendant ou descendant !
Le problème est celui de la limite entre descente et montée quand une note est la plus basse, est-ce la fin de la descente ou le début de la montée, c'est parfois ambigu.
Bon week-end également Claire !
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Réécoutez attentivement les CD vous y trouverez les réponses
Faut vraiment méditer ces cours
Dernière modification par galgo (28-02-2015 21:57:36)
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Galgo a raison: il ne faut pas non plus passer trop de temps sur la théorie. La musique est vivante et pleine d'exceptions. En montrant cet exemple dans le cours, j'ai justement présenté une exception où les noires génèrent un mouvement mélodique ascendant réel, ce qui justifie une arsis. Mais on pouvait tout aussi bien analyser ce passage en plaçant une thésis sous la dernière noire. Les deux analyses sont possibles mais interprètent différemment ce passage. Heureusement que nous avons cette liberté d'interpréter la musique, sinon elle ne pourrait vivre par l'intermédiaire des interprètes.
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Merci ! Mais j'avais beau revoir le cours et relire la version écrite que j'avais recopiée mot pour mot, je ne voyais pas la réponse à ma question.
Pour le moment (cours 19), l'heure est aux contraintes.
J'attends le jour où - paraît-il - dans la composition, je pourrai être "libérée, délivrée" de toutes ces contraintes !
Il faut d'abord des petites roulettes pour apprendre à faire du vélo ;-)
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Bonjour les Polyphoneurs,
J'ai une petite question touchant très précisément à l'objet soulevé par Charmuzelle : la règle selon laquelle des notes ponctuantes consécutives seraient illustrées d'un posé-levé est-elle compatible avec le mouvement ascendant ?
La réponse de Jean-Luc suggère que les deux analyses soient possibles, mais imaginons par exemple une montée diatonique : quand bien même elle serait tissée de notes ponctuantes :
• ce cheminement pourrait-il être perçu autrement qu'une tension croissante,
• ...à moins que la réponse ne réside dans l'ambitus de la montée ?
Qu'en dites-vous ?!
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La note ponctuante, comme son nom l'indique, amène une respiration dans une mélodie. Un mouvement ascendant ponctué de respirations ne génère pas une tension aussi importante qu'un mouvement dynamique ascendant par exemple. La tension y est nécessairement atténue bien qu'existant quand même. Il y a beaucoup de nuances possibles dans le rythme mélodique.
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