Musique sérielle : exemples de séries chez Webern (1ère partie)
« C’est ce cœur de la pensée créative de Webern que manifeste la construction de ses séries dodécaphoniques. Empirique et malaisée jusqu’à l’opus 19, cette quête d’une sorte de "divine proportion" avance à partir de l’opus 20 de façon continue, selon deux voies d’exploration complémentaires » nous dit Alain Galliari dans sa biographie « Anton Von Webern » (ed. Fayard). Nous verrons, dans ce dossier à trois volets, quelles sont ces voies explorées par le compositeur, nous donnant l’occasion d’aborder plus en détail l’écriture sérielle. Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 12 avril 2015 • 14280 lectures
Didier LEDAN
Nous avons le grand plaisir d’ouvrir cette tribune à un compositeur de musique à l’image, dont le parcours atteste la détermination, la curiosité intellectuelle, le sens musical et la virtuosité dans le travail des sons de synthèse. En un mot, un vrai professionnel de la musique à l’image. Le résultat de ces années de travail sont là : la sortie de son album époustouflant de "light music" pour la société Myma/EMI (dont nous reparlerons prochainement), et en avril, la consécration du Master Polyphonies... Bravo @Did ! Lire l’article
Article
Dans Le LIVRE D’OR • le 28 juin 2019 • 5271 lectures
Musique sérielle : exemples de séries chez Webern (3ème partie)
Webern n’a cessé d’explorer le potentiel de développement que les propriétés d’identités induisent dans la composition sérielle. Après les remarquables séries révélant les richesses de la construction symétrique, Webern veut toutefois échapper à la mécanique de séries structurées de façon trop visible. Dès lors, le compositeur cherchera -et trouvera, le moyen d’échapper à une perfection formelle, finalement mortifère. Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 20 avril 2013 • 19746 lectures
Don Juan ou le Défi Pétrifiant : 3ème partie
"La terreur ne fait que commencer" : c’est en observant l’intense expressivité musicale de ce final que nous en achèverons l’analyse. Seul, le dénouement quelque peu comique de cet opéra, l’un des meilleurs chefs-d’œuvre mozartiens, justifie à peine le qualificatif de "joyeux" donné à ce drame par ailleurs bien glacial !
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 26 octobre 2020 • 7699 lectures