Fabrice CASAERT
Né en 1954
Ingénieur électronicien
Nord (59190)
Niveau III
Lire l’article
Mon parcours :
De formation musicale initiale réduite ; c’est un parcours sportif important, un métier prenant et la famille qui ne m’ont pas laissé le temps et l’opportunité de développer concrètement cette passion. La découverte de Polyphonies et de sa pédagogie sont pour moi, aujourd’hui, une possibilité majeure de combler le retard.
Je suis inscrit aux cours de Polyphonies depuis l’été 2008.
Mon activité musicale présente :
Autodidacte donc, les mélodies au piano me viennent spontanément. L’écoute de la musique classique est également une activité de décontraction, tant d’un point de vue personnel ( maison, auto ) que d’un point de vue collectif ( concerts )
Ma musique :
La musique classique en général avec une préférence quand le piano est présent. Et puis, c’est peut-être bizarre ... Les Beatles. Cette musique "simple" qui traverse le temps et qui a "hanté" ma jeunesse.
Aujourd’hui, la formation suivie m’a ouvert largement à d’autres genres musicaux et également m’a donné l’accès à un début de décodage des messages importants portés par les compositions.
Au seuil de la « composition » je compare concrètement la formation suivie aux premières classes de mon parcours scolaire. Elles m’ont données toutes les bases de l’orthographe et les règles de la grammaire …
Je vais bientôt pouvoir lire des « compositions » et écrire, inventer mes premières « rédactions » ! CP, CE1 ….le bonheur sans aucun doute !!!…
L’écriture musicale et moi :
C’est une passion pour moi, la maîtriser me permettra, je l’espère, de mieux comprendre les messages portés par les compositions musicales et puis, comme la retraite se profile, me permettra de créer mes propres compositions.
Mes projets musicaux :
Savoir écrire, corriger et harmoniser cette musique "naturelle", lire et décoder les compositions musicales pour mieux les apprécier. Aider mes enfants qui ont formé un groupe de très bon niveau et qui composent leurs propres chansons.
article publié le mardi 25 janvier 2011 et lu 4516 fois.
Responsable administration de l’école à distance POLYPHONIES.
Conception et réalisation des supports formation. Responsable rédaction du Mensuel. Chanteuse.
Vous avez aimé cet article ? Alors partagez-le avec vos amis !
Articles les plus lus de Joëlle KUCZYNSKI
Evolution du contrepoint (partie I) : de l’organum au motet médiéval.
Point contre point, "punctus contra punctum", c’est tout l’art d’écrire une note (un point sur la portée) en face d’une autre note. Contrairement à la musique orientale, qui développe avec un suprême raffinement la ligne monodique, l’Occident, à partir du IXe siècle, explore un univers sonore qui superpose plusieurs lignes mélodiques simultanément. Art exigeant, il demande au compositeur une maîtrise consommée dans le cheminement mélodique, l’indépendance des parties, le contrôle de leurs contrastes et complémentarités. En retraçant son évolution, nous avons voulu que ce dossier donne sens aux études que vous entreprenez aujourd’hui, élèves de Polyphonies, que vous puissiez les replacer dans leur contexte à la fois historique et musicologique. Comprendre l’apport du contrepoint dans la musique occidentale, situer ses enjeux, et par là-même les raisons de l’étudier encore, nous paraît important. Ce dossier, s’il parvient à vous y aider, aura rempli sa fonction. Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 5 février 2008 • 68744 lectures
Giacomo PUCCINI : Madama Butterfly
« La difficulté consiste à commencer un opéra, c’est-à-dire à trouver son atmosphère musicale. Une fois le début composé, il n’y a plus rien à craindre » Ainsi se confiait Puccini à son librettiste Adami. Aux préludes et ouvertures, le compositeur préfère des introductions abruptes, qui plongent l’auditeur au coeur du drame. Trop souvent intégré au mouvement vériste, longtemps vilipendé, il a su pourtant créer un univers sans pareil dont la beauté et l’émotion restent des mystères. Lire l’aticle
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 5 décembre 2007 • 12002 lectures
Béla BARTOK : Musique pour cordes, percussion et célesta
Dans cette pièce, l’inspiration de la musique traditionnelle folklorique se superpose à un style mélodique particulier, et qui atteint ici sa perfection. Tout est exceptionnel dans cette musique taillée dans du cristal : la transparence et l’ambiguïté tonale de l’harmonie, la profonde originalité de l’instrumentation... Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 17 décembre 2011 • 44391 lectures
Arthur HONEGGER : Jeanne au bûcher
« La musique doit changer de caractère, devenir droite, simple, et de grande allure : le peuple se fiche de la technique et du fignolage. J’ai essayé de réaliser cela dans « Jeanne au bûcher ». Je me suis efforcé d’être accessible à l’homme de la rue tout en intéressant le musicien » nous confie Honegger. Ce « Beethoven du pauvre » comme il aimait à se définir, se préoccupa toujours de toucher un large public, dans ses oeuvres comme dans ses musiques de films, sans rien sacrifier de ses exigences musicales. Compte rendu de l’écoute musicale, animée par Jean-Robert, et qui a eu lieu à Trepsec, le 30 et 31 mai à Trepsec (16)
Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 4 septembre 2009 • 13620 lectures
Jean-Philippe RAMEAU : Les Boréades
Né au temps de Lully et mort au temps de Mozart, Jean-Philippe Rameau domine de haut l’opéra français du XVIIIème, toujours tributaire de l’esthétique de Lully et de la tradition fastueuse des fêtes royales. En faisant un triomphe à la musique de Rameau, après un siècle d’ignorance respectueuse, le public aujourd’hui en a consacré l’originalité, la richesse et le pouvoir d’émotion.
Voici le compte rendu de l’écoute musicale des BOREADES, animée par Jean Robert le 04/04/08 à Trepsec (16). Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 6 novembre 2020 • 20389 lectures