Frédéric DEBONS
Né en 1973
Fiduciaire indépendant & chef de chœur
Vit et travaille en Valais (Suisse)
Ancien élève - MASTER Polyphonies
Lire l’article
Votre parcours :
- Solfège entre La Rose des Alpes et le Conservatoire de Sion (attestation fin d’études non professionnelles de langage musical)
- Un petit peu d’orgue électronique (COB), de cornet (Conservatoire de Sion), puis beaucoup d’alto mib (professeur Eddy Debons) et enfin passionnément du chant (EJMA-VS de 2007 à 2009 - professeur Christoph Koenig) ...
- Etude de composition musicale avec Polyphonies - Cycle MASTER de 2007 à 2011
- Niveau I (harmonie & mélodie)
- Niveau II (contrepoint & schème)
- Niveau III (contrepoint, composition & analyse – du baroque au classique)
- Niveau IV (composition & analyse – instrumentation & orchestration - du romantisme au XXème siècle)
- Cours de direction chorale au Conservatoire de Sion de 2009-2012 - Certificat CH1 – fin d’études non professionnelles de direction chorale
Professeurs :
- Pierre-Louis Nanchen : direction chorale (3 ans)
- Norbert Carlen - chant choral (3 ans)
- Elisabeth Gillioz – harmonie chœur (2 ans)
& travail durant la formation avec des « guest stars » comme Pascal Crittin, Marc Bochud, Hansruedi Kaempfen, Pascal Mayer, Pierre Cao, Bernard Héritier…
Votre activité musicale présente :
Direction de 2 chœurs mixtes :
Votre musique :
… d’origine principalement la chanson française, mais de tout bord (Thiéfaine, Ange, Nougaro, Sardou, Obispo, Zazie, Kent, Gainsbourg, Brel, Ferré, Higelin...) et de vieux souvenirs de brass-band dont quelques "classiques" arrangés…
… puis petit à petit de l’ouverture sur le Gospel (j’ai chanté durant 4 ans dans un chœur de gospel), la musique sud-américaine (Piazzolla, Ramirez, la Misa Tango de Bacalov, la musique andine en général, un peu de bossa ou de salsa pour détendre l’atmosphère)…
… et finalement grâce à Polyphonies, j’ai commencé à me remettre sérieusement à la musique classique ... j’étais d’ailleurs content d’arriver au niveau IV puisque la musique qui me « botte » est plutôt récente (et géographiquement plutôt à l’Est) ! Dvorak, Grieg, Chostakovitch, Tchaïkovski, Stravinsky (mais avec modération), Borodine ... donc Beethoven, Schubert & Co correspondaient plus à « mon kif » que ce cher Jean-Séb…
On peut dire que grâce à Polyphonies, je me suis payé ces dernières années un merveilleux voyage au centre de la musique !
Sites musicaux où écouter vos pièces
http://www.myspace.com/fdebons/music/songs ?filter=featured
https://sites.google.com/site/fdebons/composition
article publié le mercredi 4 juillet 2012 et lu 8081 fois.
Responsable administration de l’école à distance POLYPHONIES.
Conception et réalisation des supports formation. Responsable rédaction du Mensuel. Chanteuse.
Vous avez aimé cet article ? Alors partagez-le avec vos amis !
Articles les plus lus de Joëlle KUCZYNSKI
Evolution du contrepoint (partie I) : de l’organum au motet médiéval.
Point contre point, "punctus contra punctum", c’est tout l’art d’écrire une note (un point sur la portée) en face d’une autre note. Contrairement à la musique orientale, qui développe avec un suprême raffinement la ligne monodique, l’Occident, à partir du IXe siècle, explore un univers sonore qui superpose plusieurs lignes mélodiques simultanément. Art exigeant, il demande au compositeur une maîtrise consommée dans le cheminement mélodique, l’indépendance des parties, le contrôle de leurs contrastes et complémentarités. En retraçant son évolution, nous avons voulu que ce dossier donne sens aux études que vous entreprenez aujourd’hui, élèves de Polyphonies, que vous puissiez les replacer dans leur contexte à la fois historique et musicologique. Comprendre l’apport du contrepoint dans la musique occidentale, situer ses enjeux, et par là-même les raisons de l’étudier encore, nous paraît important. Ce dossier, s’il parvient à vous y aider, aura rempli sa fonction. Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 5 février 2008 • 68744 lectures
Giacomo PUCCINI : Madama Butterfly
« La difficulté consiste à commencer un opéra, c’est-à-dire à trouver son atmosphère musicale. Une fois le début composé, il n’y a plus rien à craindre » Ainsi se confiait Puccini à son librettiste Adami. Aux préludes et ouvertures, le compositeur préfère des introductions abruptes, qui plongent l’auditeur au coeur du drame. Trop souvent intégré au mouvement vériste, longtemps vilipendé, il a su pourtant créer un univers sans pareil dont la beauté et l’émotion restent des mystères. Lire l’aticle
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 5 décembre 2007 • 12002 lectures
Béla BARTOK : Musique pour cordes, percussion et célesta
Dans cette pièce, l’inspiration de la musique traditionnelle folklorique se superpose à un style mélodique particulier, et qui atteint ici sa perfection. Tout est exceptionnel dans cette musique taillée dans du cristal : la transparence et l’ambiguïté tonale de l’harmonie, la profonde originalité de l’instrumentation... Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 17 décembre 2011 • 44391 lectures
Arthur HONEGGER : Jeanne au bûcher
« La musique doit changer de caractère, devenir droite, simple, et de grande allure : le peuple se fiche de la technique et du fignolage. J’ai essayé de réaliser cela dans « Jeanne au bûcher ». Je me suis efforcé d’être accessible à l’homme de la rue tout en intéressant le musicien » nous confie Honegger. Ce « Beethoven du pauvre » comme il aimait à se définir, se préoccupa toujours de toucher un large public, dans ses oeuvres comme dans ses musiques de films, sans rien sacrifier de ses exigences musicales. Compte rendu de l’écoute musicale, animée par Jean-Robert, et qui a eu lieu à Trepsec, le 30 et 31 mai à Trepsec (16)
Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 4 septembre 2009 • 13620 lectures
Jean-Philippe RAMEAU : Les Boréades
Né au temps de Lully et mort au temps de Mozart, Jean-Philippe Rameau domine de haut l’opéra français du XVIIIème, toujours tributaire de l’esthétique de Lully et de la tradition fastueuse des fêtes royales. En faisant un triomphe à la musique de Rameau, après un siècle d’ignorance respectueuse, le public aujourd’hui en a consacré l’originalité, la richesse et le pouvoir d’émotion.
Voici le compte rendu de l’écoute musicale des BOREADES, animée par Jean Robert le 04/04/08 à Trepsec (16). Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 6 novembre 2020 • 20389 lectures