Omar TALEB
54 ans
ORL et Phoniatre
Bretagne (56)
Niveau II
Lire l’article
Mon parcours :
Aucune formation théorique officielle ; si ce n’est celle de mon amitié avec Yves Ribis. Je participe à des ateliers musicaux à Lorient, orientés jazz et musique celtique. Je suis les cours à l’Ecole Nationale de Musique de Lorient, en contrebasse classique (2ème année du 3ème cycle). Je joue également de la guitare, et de l’oud [ndlr : intrument traditionnel du moyen-orient]. Je fais de la musique depuis 20 ans.
Mon activité musicale :
Je suis donc élève à l’ENMD de Lorient, ainsi qu’à POLYPHONIES où je termine le niveau I. Je participe aussi au concert annuel au Grand Théâtre : très belle salle, nous y jouons avec l’orchestre de l’école et accompagnons l’école de danse. Nous sommes alors dans la fosse. Le programme cette année : le ballet du bourgeois gentillhomme, Roméo et Juliette de Gounod et je crois des airs d’Offenbach pour accompagner la classe de chant et peu-être du Satie.
Je participe également une fois par mois aux sessions irlandaises au pub.
A la bonne franquette, c’est selon la forme du moment, j’y vais pour retrouver les copains ! etc...
Le niveau est variable selon les soirées. C’est toutes les semaines mais je ne peux y aller que 2 à 3 fois par trimestre, il faut travailler l’instrument, mais aussi se consacrer à Polyphonies et à la maison, vous devez connaître !
j’ai accompagné pendant plusieurs année une chanteuse du pays gallo avec qui nous avons gagné la bogue de bronze à Redon, mais aussi l’ensemble de violons "Fidil" avec qui nous avons tourné en Bretagne, en Irlande et meme joué à Toulouse et à côté de Figeac, des airs ilrlandais et des danses bretonnes, fest-noz en tous genres ,fête de la Saint Patrick , festival interceltique, etc.. (je vis en pays celte).
Ma musique :
Classique et jazz, arabe bien surtout, mais aussi musique celte, musique de film etc...
Mes projets musicaux :
Jouer de la musique arabe, mon rêve de toujours.
Maintenant ce sont les chanteurs qui me sollicitent mais, en tant que phoniatre !
je fais un break et me suis inscrit à Polyphonies pour continuer une activité plus théorique mais pour mieux en profiter, plus tard en pratique, je l’espère.
Les contrebassistes sont volontiers sollicités, aussi je .. me cache plutôt en ce moment, sinon je pourrais être dehors tous les soirs et tous les w.e., même si je n’ai atteint qu’un niveau plutôt moyen pour ce type d’instrument. Je suis rentré dans ma coquille mais continue d’aller voir les copains musiciens, pour leurs spectacles ou dans les coulisses ou au pub...
article publié le vendredi 4 juillet 2008 et lu 6225 fois.
Responsable administration de l’école à distance POLYPHONIES.
Conception et réalisation des supports formation. Responsable rédaction du Mensuel. Chanteuse.
Vous avez aimé cet article ? Alors partagez-le avec vos amis !
Articles les plus lus de Joëlle KUCZYNSKI
Evolution du contrepoint (partie I) : de l’organum au motet médiéval.
Point contre point, "punctus contra punctum", c’est tout l’art d’écrire une note (un point sur la portée) en face d’une autre note. Contrairement à la musique orientale, qui développe avec un suprême raffinement la ligne monodique, l’Occident, à partir du IXe siècle, explore un univers sonore qui superpose plusieurs lignes mélodiques simultanément. Art exigeant, il demande au compositeur une maîtrise consommée dans le cheminement mélodique, l’indépendance des parties, le contrôle de leurs contrastes et complémentarités. En retraçant son évolution, nous avons voulu que ce dossier donne sens aux études que vous entreprenez aujourd’hui, élèves de Polyphonies, que vous puissiez les replacer dans leur contexte à la fois historique et musicologique. Comprendre l’apport du contrepoint dans la musique occidentale, situer ses enjeux, et par là-même les raisons de l’étudier encore, nous paraît important. Ce dossier, s’il parvient à vous y aider, aura rempli sa fonction. Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 5 février 2008 • 68744 lectures
Giacomo PUCCINI : Madama Butterfly
« La difficulté consiste à commencer un opéra, c’est-à-dire à trouver son atmosphère musicale. Une fois le début composé, il n’y a plus rien à craindre » Ainsi se confiait Puccini à son librettiste Adami. Aux préludes et ouvertures, le compositeur préfère des introductions abruptes, qui plongent l’auditeur au coeur du drame. Trop souvent intégré au mouvement vériste, longtemps vilipendé, il a su pourtant créer un univers sans pareil dont la beauté et l’émotion restent des mystères. Lire l’aticle
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 5 décembre 2007 • 12002 lectures
Béla BARTOK : Musique pour cordes, percussion et célesta
Dans cette pièce, l’inspiration de la musique traditionnelle folklorique se superpose à un style mélodique particulier, et qui atteint ici sa perfection. Tout est exceptionnel dans cette musique taillée dans du cristal : la transparence et l’ambiguïté tonale de l’harmonie, la profonde originalité de l’instrumentation... Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 17 décembre 2011 • 44391 lectures
Arthur HONEGGER : Jeanne au bûcher
« La musique doit changer de caractère, devenir droite, simple, et de grande allure : le peuple se fiche de la technique et du fignolage. J’ai essayé de réaliser cela dans « Jeanne au bûcher ». Je me suis efforcé d’être accessible à l’homme de la rue tout en intéressant le musicien » nous confie Honegger. Ce « Beethoven du pauvre » comme il aimait à se définir, se préoccupa toujours de toucher un large public, dans ses oeuvres comme dans ses musiques de films, sans rien sacrifier de ses exigences musicales. Compte rendu de l’écoute musicale, animée par Jean-Robert, et qui a eu lieu à Trepsec, le 30 et 31 mai à Trepsec (16)
Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 4 septembre 2009 • 13620 lectures
Jean-Philippe RAMEAU : Les Boréades
Né au temps de Lully et mort au temps de Mozart, Jean-Philippe Rameau domine de haut l’opéra français du XVIIIème, toujours tributaire de l’esthétique de Lully et de la tradition fastueuse des fêtes royales. En faisant un triomphe à la musique de Rameau, après un siècle d’ignorance respectueuse, le public aujourd’hui en a consacré l’originalité, la richesse et le pouvoir d’émotion.
Voici le compte rendu de l’écoute musicale des BOREADES, animée par Jean Robert le 04/04/08 à Trepsec (16). Lire l’article
Article
Dans Dossiers musicologiques • le 6 novembre 2020 • 20389 lectures